Galápagos, aux îles de la découverte

Les îles Galápagos appartiennent à l’Équateur. Mais elles sont tellement particulières qu’elles ont mérité l’ultime honneur : un article pour elles toutes seules !

Pour commencer, un poil de géographie – promis, ça ne sera pas long.

Un reve réalisé: Bienvenue au Pac National des Galapagos !

Les îles des Galápagos sont un petit archipel composé d’environ 20 îles et une centaine de rochers, situés à 1000 km des côtes de l’Équateur.

C’est d’ailleurs cet isolement qui lui a valu ses propriétés particulières. Les animaux qui, il y a quelques milliers d’années, ont réussis à parvenir jusqu’aux îles s’y sont développés d’une manière particulière. Par exemple, certains oiseaux sur une île ont évolué pour avoir un bec particulièrement adapté aux graines qui y poussent. D’autres ont développé un plumage adoptant les couleurs de roches afin de mieux s’y camoufler. Bref, l’isolement des îles a favorisé des développements génétiques très particuliers : c’est d’ailleurs ce qui a mis la puce à l’oreille d’un certain Charles Darwin, qui est venu aux îles en 1835 et en a par la suite déduit que les espèces évoluent par suite de mutations génétiques, celles qui favorisent les individus les mieux adaptés à leur milieu. Bref, la naissance du principe de la sélection naturelle.

Fin du cours d’histoire-géo, car l’isolement des îles a aussi un autre avantage : les animaux qui y vivent n’ayant eu que très peu de contact avec les humains, ils n’en ont pas peur et se laissent donc facilement approcher sans crainte. Le rêve de tout photographe !

Pour tout dire, nous n’avions pas prévu d’aller aux îles Galapagos. Ou en fait, plutôt si : c’est même la raison pour laquelle nous avons “court-circuité” l’Alaska. Beaucoup de kilométrage et un environnement semblable au Nord canadien, nous avions décidé de garder notre budget pour visiter les Galápagos. Mais face aux prix, c’est la déprime ! Les visites dans les îles sont très dispendieuses : il y a tout d’abord le billet d’avion à payer (500 $ depuis Quito, la capitale de l’Équateur), l’entrée du parc (100 $, ouch ! eh oui, l’ensemble des îles se trouve dans un parc naturel, et l’Équateur sait faire payer les touristes pour contrôler l’afflux de visiteurs), et bien sur les visites en elles-mêmes, qui se font le plus souvent sous forme d’une croisière qui vous mène d’une île à l’autre. Et c’est là où ça fait mal : nous nous renseignons dans une ou deux agences, et les prix des croisières varient de 1500 $ à 2500 $. Ajoutez-y le prix de l’avion, l’entrée du parc, puis multipliez le tout par 5 personnes : aie aie aie ! Vu la dépense, nous choisissons de nous rabattre vers une visite ailleurs, moins chère, un tour en Amazonie ; c’est dommage les Galápagos nous tentaient vraiment, mais le prix est vraiment trop cher. Et donc revisite des agences pour chercher une expédition en Amazonie, et ce qui devait arriver arriva : vous le savez bien, c’est quand on arrête de chercher qu’on trouve. Un bateau de croisière qui vend ses dernières places pour les Galápagos à prix bradé, à la dernière minute : 1300 $ par personne, avec le vol comprit. Bon, ça fait quand même une grosse somme pour 5, une très grosse somme, qui nous permettrait par ailleurs de vivre plusieurs mois en voyage en Amérique du Sud – mais quand même … Les Galápagos nous attirent irrésistiblement… La femme de l’agence de voyages finit de nous convaincre en nous montrant le bateau : un vrai mini-paquebot de luxe (moins de 40 personnes et 53 mètres), avec le jacuzzi sur le pont… Les enfants s’excitent, les parents aussi : Ok, on prend ! Normalement nous dit-elle, c’est un package qui se vend dans les $3500 par personne. Vérité ou simple boniment de vendeur, ça fait quand même une grosse réduction ; et puis, même si le prix total est élevé, on n’a pas sacrifié l’Alaska pour rien non ?

Nos amis Françoise et Jacky qui nous accompagnaient en ville nous voient tout excités de notre trouvaille. Eux sont pressés par le temps pour se rendre au Pérou, et les Galápagos ne sont normalement qu’au programme de leur prochaine visite en Amérique du Sud, dans 6 mois. Et 6 mois, c’est long, surtout pour 2 amoureux de la nature comme eux. De plus, qui sait s’ils retrouveront une aubaine comme celle-ci ? Un regard entre eux deux et c’est décidé, ils viennent voir les Galápagos avec nous ! Youpi !

Depart à l'aéroport de bon matin ...

C’est ainsi que notre petit groupe de 7 se retrouve de bon matin à l’aéroport de Quito. C’est là où nous laisserons nos montures, euhh je veux dire nos véhicules. Nous, ça nous fait un peu bizarre, c’est la première fois en 1 an que nous laissons notre MACC. Il est un peu devenu un membre de la famille, mais rien à faire, cette fois-ci on ne peut pas l’emmener avec nous…

Clément adoooore prendre l'avion ... pour le plateau repas. Le groupe de choc débarque aux Galapagos !

Le trajet en avion de Quito aux îles Galápagos (via une escale à Guayaquil) se résume à un vol de 5 heures sans histoire. Une fois atterrit sur un bout de rocher désertique (l’île de Baltra), nous faisons la rencontre avec notre guide francophone, Driss. En effet, l’équipe du navire l’a fait appeler spécialement pour nous afin que nous ayons toutes les explications en français durant notre séjour. Ce n’était pas obligatoire (notre espagnol devient meilleur et l’anglais est omniprésent), mais ça fait toujours plaisir.

La station scientifique nommée d'après le célébre Charles Darwin

Nous passons l’après-midi à visiter le centre naturel Charles Darwin et les animaux qui y sont recueillis. Driss nous explique que les scientifiques du monde entier se pressent aux Galápagos pour venir y étudier la faune et la flore particulière qui s’y trouvent.

Une tortue géante, espèce en voie d'extinction

Des tortues elevées pour la repopulation, centre scientifique Charles Darwin, Galapagos.

Le centre naturel se trouve sur l’île de Santa Cruz, qui comporte aussi un petit village. Ce sera notre dernier contact avec la civilisation.

Les pélicans attendent leur part de la peche, Galapagos, Equateur.

Jacky Rose observe le lion de mer qui quete pour un poisson, Galapagos, Equateur. Les pécheurs préparent leurs prises du jour, Galapagos, Equateur.

En route pour notre navire ! Galapagos, Equateur.

Nous embarquons en fin de journée sur "notre" navire, et découvrons que nous ne nous sommes pas fait voler sur la marchandise. Le bateau, bien que de petites dimensions, est vraiment spacieux et luxueux. Les cabines étant faites pour 2 personnes, nous en avons droit à 3 et les enfants dormiront sans les parents. Parfait !

"Notre" navire, l'Isabella II, à  l'ancre à proximitée des iles Galapagos, Equateur.

Un petit verre de bienvenue à bord de l'Isabella II, Galapagos, Equateur.

Nous sommes ensuite accueillis au bar par un petit cocktail et nous nous faisons présenter le programme de la semaine : et c’est bien chargé ! En gros, 3 activités par jour, que ce soit visite d’une des îles, plongée, kayak ou balade en bateau. La première débute dès 8 heures du matin, nous serons donc levés tôt. La deuxième se déroule en fin de matinée, et l’activité de l’après-midi débutant souvent dès 15h, cela ne nous laissera finalement que peu d’options pour le farniente, sauf en soirée.

Notre navire, l'Isabella II, nous attend au large des Galapagos, Equateur.

Chaque jour, notre guide est là pour nous donner une foule d’explications sur tout ce que nous pouvons observer : les oiseaux, les reptiles, les lions de mer, les tortues … La procédure journalière est à chaque fois la même : embarquement d’un petit groupe sur un zodiac, visite d’une île avec détails sur la faune, la flore, l’histoire, ensuite plongée ou rembarquement. Mais il faut savoir que chaque île a son propre quota de visiteurs ; les groupes sont limités en taille, doivent être obligatoirement accompagnés par un guide officiel, et les itinéraires sont délimités. Bref, tout est fait pour préserver au maximum l’écosystème local et minimiser l’impact des visiteurs sur les îles. D’ailleurs, certaines îles sont complètement fermées aux visiteurs, voire même aux scientifiques.

Galapagos, Equateur.

Pour le 2eme jour sur les Galápagos, le ton est donné : notre navire s’est déplacé pendant la nuit à proximité de l’île de Santa Fe. Le zodiac nous débarque sur une petite plage de sable blanc, mais il nous faut contourner une troupe de lions de mer qui lézardent tranquillement au soleil. Ils ne sont aucunement dérangés par notre arrivée, on voit clairement qu’ils n’ont aucune crainte des humains : ils ne bougent même pas un poil de moustache ! Nous nous approchons à 2 mètres (on pourrait les toucher, mais le règlement impose cette distance minimum) et le Canon mitraille : les Galápagos sont vraiment le paradis du photographe – je n’y ferai pas moins de 3000 photos au total !

Depart de la plage aux lions de mer, Galapagos, Equateur.

Lions de mer, Galapagos, Equateur.

Clément n'a pas remarqué le lion de mer un peu curieux qui s'approche, Galapagos, Equateur.

Un lion de mer bronze au soleil, Galapagos, Equateur.

Même après avoir quitté la plage pour une rando dans l’île, il nous faut faire attention ou nous mettons les pieds : il y a des animaux de partout et les lions de mer aiment faire la sieste dans les buissons, ce n’est pas le moment d’en écraser un.

Un lion de mer s'est trouvé une cachette pour faire sa sieste tranquille, Galapagos, Equateur.

Un lion de mer s'interesse à mon appareil photo, Galapagos, Equateur.

L'iguane de terre surveille mon objectif du coin de l'oeil. Galapagos, Equateur.

Clément a juste besoin de 2 caillous pour s'occuper pendant les visites.  Galapagos, Equateur.

Ensuite, séquence plongée. Et là, moment de rêve : on nage avec les tortues marines au milieu des bancs de poissons multicolores, ce qui est déjà toute une expérience en soit.

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Clément a un peu peur des mamifères marins, mais se lance quand meme ! Galapagos, Equateur.

Banc de poissons multicolores, Galapagos, Equateur.

Un banc de poisson vient nous rendre visite, Galapagos, Equateur.

Une tortue marine passe sous notre masque, Galapagos, Equateur.

Un poisson ovni qui survole le fond ?  Galapagos, Equateur.

Mais le meilleur est encore à venir : je vois bien que les lions de mer ont envie de jouer, je virevolte donc un peu sous l’eau, et ils arrivent. Ca tournoie dans tous les sens, ils me frôlent, nagent autour de moi, et quand je fais mine d’aller reprendre mon souffle, ils viennent mordiller gentiment mes palmes du bout des dents pour m’inciter à venir encore jouer avec eux… Mémorable !!!

Un lion de mer vient jouer avec moi, Galapagos, Equateur.

Un lion de mer vient mordiller mes palmes pour m'inciter à jouer avec lui, Galapagos, Equateur.

Un lion de mer vient mordiller mes palmes, Galapagos, Equateur.

Notre excursion suivante est à l’île North Seymour : ici, ce sont principalement les oiseaux qui s’offrent à nous.

Les volatiles sont très présents aux Galapagos.

Clic Clac !  Galapagos, Equateur.

Le roi de la visite est sans conteste le fou à pieds bleus, une espèce rare dont la moitié de la population mondiale niche aux Galapagos. Et bien sûr, ses pattes sont … bleues turquoises…

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Pour se nourrir de poissons, ils plongent en groupe dans les vagues d’une hauteur de 10 à 30 mètres : le spectacle est impressionnant, et les poissons, même à une profondeur de 20 mètres, ont peu de chance d’en réchapper.

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Pour une fois, nous sommes chanceux au niveau des dates, car c’est la période de reproduction, nous pouvons donc voire les mâles effectuer une parade nuptiale dandinée quasi-militaire pour séduire leur femelle. Un peu plus loin, nous observons un couple en train de couver leurs œufs bien au chaud sous leurs pattes. Essayez donc d’approcher une nichée sauvage n’ importe où autre qu’aux Galapagos, et vous saurez que c’est quasiment impossible. Mais ici, les volatiles nous regardent passer tranquillement, sachant pertinemment qu’ils n’ont rien à craindre de nous.

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Parmi les autres créatures ailées, il y a aussi la frégate. Oiseau dont l’envergure peut atteindre 2.3 mètres, il se caractérise particulièrement chez le mâle par la présence d’un sac sous la gorge d’une couleur rouge vive, qu’il peut gonfler à volonté pour impressionner les femelles.

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À cause de la grandeur de ses ailes, la frégate a du mal à marcher et à décoller, mais une fois en vol il peut y rester une semaine sans se poser !

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Nous voyons aussi des mouettes à queues fourchues, une espèce aux grands yeux cerclés de rouge qui ne vit qu’aux îles Galápagos.

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Mouette à queue fourchue,  Galapagos, Equateur.

Les animaux terrestres, eux, sont plutôt dans ces îles. Il faut dire que le manque de végétation et la quasi-inexistence d’eau potable ne leur rendent pas la vie facile. À part les tortues terrestres (dont les fameuses tortues géantes qui pèsent près de 200kg), il y a aussi les iguanes de terre, dans leur belle livrée jaune.

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Là encore, ils laissent approcher le photographe facilement, tout ce qui leur importe étant leur bain de soleil quotidien.

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Driss, notre guide, nous montre aussi des iguanes de mer. Il nous explique que ce sont des iguanes terrestres perdus sur ces îles qui, faute de végétation, ont été contraints il y a des millénaires à apprendre à plonger pour aller brouter les algues présentes sur les fonds rocheux. Des animaux d’autant plus admirables que, étant à sang-froid, ils doivent accumuler de la chaleur au soleil pendant des heures afin de pouvoir nager pour maximum 30 minutes dans les eaux froides puis de ressortir vite fait, faute de quoi leurs muscles se tétanisent par le froid et ils meurent. Pour s’économiser lorsqu’il plonge, il ralentit son rythme cardiaque au point que son cœur peut s’arrêter de battre pendant 3 minutes ! L’iguane marin est le seul reptile marin au monde, et il ne vit qu’aux îles Galápagos. De par son aspect un peu dragon, Charles Darwin l’avait décrit comme « le lutin des ténèbres »… Charmant !

Un iguane de mer à l'allure peu commode - Galapagos, Equateur.

Nous retournons au navire pour un festin de roi ; il faut dire que non seulement l’air du large nous a creusé l’appétit, mais nous nous faisons servir de la gastronomie fine. Petits plats exotiques associés à des desserts succulents, nous nous régalons, miam ! Il faut dire que pour moins de 40 passagers, il y a 27 hommes d’équipage plus 4 guides naturalistes. Autant dire que nous sommes soignés. Après un an de voyage dans notre MACC, il faut bien avouer que c’est bien agréable !

A taaaaable ! Isabella II, au large des Galapagos, Equateur.

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Et c’est la même chose pour les jours suivants, que nous passons à proximité de l’île Bartolomé. Délice de paysages plus ou moins lunaires et d’animaux en tout genre…

La descente est plus facile que la montée !  Galapagos, Equateur.

Orlane à l'ile Bartolomé,  Galapagos, Equateur.

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Coucou toi !  Galapagos, Equateur.

Un des rares rapaces peuplant les iles  Galapagos, Equateur.

La fine équipe,  Galapagos, Equateur.

Nous passons le dernier jour à la baie Sullivan, sur l’île James. Cette île est une des plus jeunes de l’archipel, elle n’a donc pas encore été recouverte de poussières, puis de terre, puis de végétation : ici c’est la lave séchée à l’état pur. On dirait qu’elle s’est figée la veille, en laissant derrière elle des motifs variés très photogéniques.

Traversée du champ de lave,  Galapagos, Equateur.

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Des motifs de lave durcie impressionnants -  Galapagos, Equateur.

Lave durcie,  Galapagos, Equateur.

Ne pas y laisser tomber ses cléfs - Galapagos, Equateur.

Ici la végétation et les animaux se font nettement plus rares, mais nous avons droit à l’oiseau le plus typique aux yeux des enfants, j’ai nommé: le pingouin !

Cactus sur l'ile James,  Galapagos, Equateur.

Une frégate vient nous saluer pour notre dernier jour aux Galapagos, Equateur.

Ma photo favorite des Galapagos !

Mais notre séjour touche à sa fin – même si les enfants aimeraient bien détourner le bateau pour une semaine de plus …

Les enfants visitent avec plaisir la passerelle de pilotage de l'Isabella II -  Galapagos, Equateur.

Le bateau navigue de nuit pour nous ramener à l’aéroport le lendemain matin, et il nous faut faire nos adieux aux îles Galápagos.

Bye-bye les Galapagos ! Equateur.

Pour conclure: il faut bien l’avouer, ça coûte un bras et une jambe de venir ici ; mais c’est un environnement tellement unique que nous n’hésiterions pas si c’était à refaire. Tous ces animaux – dont plusieurs complètements uniques aux Galápagos – resterons gravés dans nos mémoires, et le paysage des îles, qui bien que sans être très exceptionnel reste néanmoins très joli, contribue largement à l’ambiance. Le fait que nous soyons tombés par hasard sur un navire « de luxe » pour un prix mini nous a aidés aussi à faire passer l’addition. Mais la cerise sur le gâteau, c’est sans conteste la proximité avec des animaux sauvages qui ne sont aucunement effarouchés par votre présence. Alors si en plus vous aimez comme moi pratiquer la photo, n’hésitez plus : inscrivez tout de suite les Galápagos sur votre liste des endroits où aller durant votre vie !

Petite pause sur le champ de lave de l'ile James, Galapagos, Equateur.

 

 

 

 

Note: une fois encore, nous avons beaucoup plus de photos que ce que nous pouvons publier avec le texte (surtout avec tout ce qui a été mitraillé aux Galápagos !). Voici donc un petit diaporama de photos inédites mixées avec celles déjà présentes ci-dessus…

 

 

 

8 réflexions sur « Galápagos, aux îles de la découverte »

  1. saluté l'expé

    effectivement ça à l'air de valoir vraiment le coup, la liste des endroits à visiter avant de mourrir s'allonge…. Je sais pas si c'est bon signe ou pas !! mais il va falloir jouer au loto à se rythme là …

    mais grace à vous je pourrai lors d'un diner ou d'un déjeuner faire genre je connais en parlant du coup du frégate qui augmente pour impressionner la femelle.

    Je suis sûre que la gente masculine serait bien heureux de faire gonfler une autre partie de leur corps ….pour epater la gente féminine

    bon épater nous encore

    bon continuation

    bisous

     

  2. hello les explorateurs !

    De retour de vacances, je viens de surfer sur les Gualapagos. Quel beau reportage ! j'en ai les yeux qui brillent. Que dire d'autre que : "Que notre Terre est belle !"

    Bonne route et abreuvez-nous encore et encore de vos recits, images et impressions. Profitez bien.

    bises

  3. Un bonjour d'une cousine de Martine :Monique du béarn et pays basque .Vos parents sont passés hier soir 14 septembre ,nous avons passé une excellente soirée.Ils m'ont fait découvrir votre famille, votre périple .Les reportages et photos sont formidables .Quelle belle aventure, cela nous fait rever. Bonne continuation en Amérique de sud. Monique

  4. salut l'Expé 5

    je vous envoi ce petit message du bout du monde d'une petite contrée reculée où le soleil a parfois beaucoup de mal de se montrer pour m'adresser personnellement à la seule personne que je connaisse vraiment dans cette expé, c'est à dire la FEMME.

    Si je ne m'abuse celle -ci vient de franchir un cap ce jour, bien que n'ayant pas beaucoup de news de vous ces derniers temps ( le gros becs du 14 février a vraiment durer malgré ce que l'on a pu nous dire !!! hihihi) vous n'êtes peut -être pas le 02 octobre. Je vais quand même continuer ce message après tout l'important c'est d'y penser.

    Je fais donc de gros gros gros bisous (pas de becs ici) tout mouillés à ma vieille ( maintenant c'est le cas !!) amie je pourrais même dire 40 bisous que j'envoi par mail (mieux que la poste) pour lui souhaiter un merveilleux anniversaire.

    J'espère avoir très vite de vos nouvelles aventures, au moins pour avoir l'impression d'avoir voyager le "cul" dans mon canapé

    à la revoyotte (on dit ici)

    Ingrid

  5. Bonjour,

     

    Nous habitons Devecey et pratiquons du Camping car avec Martine et Gérard,  les Tabour, et les Daguet.

    Lorsque nous ne pratiquons pas du CC, nous réalisons des maquettes ferroviaires au sein d'une association de Besançon. (voire site : railminiature25.free.fr)

     

    Nous sommes impressionnés par votre choix de ce voyage sur notre bonne planète terre.

    Bonne route à vous

     

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